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Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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Découvrez ce que nos clients satisfaits disent de nos services de diagnostic immobilier.

Jean-Luc BERTRAND

Très professionnel et sympathique Je recommande cette entreprise. Bien à l'écoute de vos problèmes, et en plus vous donne des conseils sur le sujet.

Camille Giraud

M. Barou est très professionnel et réactif tant sur l'envoi du devis, que de la prise du rendez-vous et de l'envoi des diagnostics. Je recommande.

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Découvrez notre blog et nos derniers articles sur les diagnostics immobiliers, la réglementation et les conseils pratiques.

À LA UNE
Les normes à respecter en matière de repérage d’amiante
21 novembre 2025

Les normes à respecter en matière de repérage d’amiante

Comprendre la réglementation liée à l’amiante Depuis l’interdiction de l’amiante en France en 1997, ce matériau, resté présent dans de nombreux bâtiments anciens, soulève d’importantes questions en matière de sécurité et de conformité. Son usage, principalement en raison de ses propriétés isolantes et de sa solidité, a conduit à une large diffusion dans l’immobilier des décennies passées. Aujourd’hui, une réglementation stricte encadre le repérage de l’amiante afin de protéger la santé publique. Identifier les principaux matériaux concernés Repérer l’amiante suppose d’abord une bonne connaissance des éléments susceptibles d’en contenir. Trois familles de produits sont particulièrement à surveiller dans les constructions datant d’avant 1997. Les isolants thermiques sur réseaux techniques : Les gaines, calorifugeages ou manchons installés sur les tuyauteries et circuits de chauffage peuvent contenir de l’amiante sous forme de fibres. On les reconnaît souvent à leur aspect fibreux, gris ou blanc, et à leur propension à s’effriter. Ces matériaux sont fréquemment situés dans les locaux techniques, sous-sols ou encore les chaufferies. Les plaques et équipements en amiante-ciment : Très communs dans la période des années 1960 à 1990, ces panneaux recouvrent encore bon nombre de toitures, façades ou annexes d’immeubles. Leur surface légèrement rugueuse et leur teinte tirant sur le gris sont caractéristiques. Bien que l’amiante y soit moins volatil que dans les isolants friables, des travaux ou nettoyages intempestifs peuvent libérer des fibres dangereuses. Les sols en dalles vinyle-amiante : Appréciés pour leur solidité, ces revêtements et les colles employées pour leur pose contiennent aussi de l’amiante. Les dalles, souvent carrées et colorées dans des tons neutres, se retrouvent dans de nombreux appartements ou parties communes d’anciens immeubles. Le danger se manifeste lors de rénovations ou de manipulations provoquant la poussière du matériau. La démarche de repérage selon les normes Conformément à la législation, toute transaction immobilière ou tout projet de travaux concernant un bâtiment érigé avant le 1er juillet 1997 nécessite un repérage systématique de l’amiante. Cette obligation vise à identifier la présence éventuelle de ce matériau et à prévenir l’exposition des occupants comme des intervenants sur le chantier. Le diagnostic doit être réalisé par un professionnel certifié, capable de localiser précisément les éléments à risque, d’évaluer leur état et de préconiser les mesures à prendre. Ces recommandations peuvent varier de la simple surveillance au retrait total, en passant par le confinement des parties concernées. L’importance des contrôles professionnels La détection de l’amiante ne s’improvise pas. Un prélèvement et une analyse en laboratoire s’imposent pour confirmer sa présence, car certains matériaux suspects ne laissent apparaître aucun signe distinctif à l’œil nu. Faire appel à un expert permet d’assurer un diagnostic exhaustif et conforme à la réglementation, garantissant ainsi la sécurité des occupantes et des intervenants sur le bâtiment. Conclusion : une réglementation pour protéger la santé Le respect des normes de repérage de l’amiante contribue à réduire les risques sanitaires liés à l’inhalation de particules dangereuses. Pour toute opération immobilière ou intervention sur un bâtiment susceptible d’être concerné, solliciter un spécialiste du diagnostic amiante est capital afin de rester en conformité avec la loi et d’assurer la protection de tous.

Amiante et copropriétés : les responsabilités des habitants
21 novembre 2025

Amiante et copropriétés : les responsabilités des habitants

Le risque d’amiante dans les immeubles collectifs L’amiante, interdit en France depuis 1997, demeure présent dans de nombreux bâtiments construits avant cette date. Utilisé pour ses propriétés d’isolation et de solidité, il se retrouve dans divers éléments des immeubles, exposant les habitants à des risques si ces matériaux sont dégradés ou manipulés. Les principaux matériaux exposés à l’amiante L’isolation des réseaux de chauffage Dans les copropriétés anciennes, les conduites et installations thermiques ont souvent été isolées avec des matériaux contenant de l’amiante. Ces isolants pouvaient prendre la forme de manchons, enduits fibreux, ou encore de cordons autour des canalisations. On les localise fréquemment dans les chaufferies, caves ou gaines techniques. Si ces matériaux se détériorent, ils relâchent des fibres pouvant nuire à la santé des occupants. Les toitures et façades en fibres-ciment De nombreux immeubles et annexes construits jusqu’aux années 1990 disposent de couvertures, bardages ou appuis de fenêtre réalisés en plaques d’amiante-ciment. Ces éléments, typiquement de couleur grise et d’aspect rugueux, ne présentent un danger que s’ils sont fissurés ou endommagés, car l’amiante reste encapsulé tant que le matériaux est intact. Attention toutefois aux opérations de perçage ou de nettoyage sous haute pression qui peuvent disséminer des poussières toxiques. Les sols et colles contenant de l’amiante Les dalles vinyle-amiante, souvent posées entre 1960 et 1980, sont répandues dans les pièces à vivre et les zones communes. Elles mesurent généralement 30 x 30 cm, arborant diverses teintes sombres ou neutres. La colle employée pour leur pose peut aussi contenir de l’amiante. Le risque survient lors de travaux de rénovation, ponçage ou enlèvement de ces revêtements. Les obligations légales des habitants et syndics La loi impose à toute copropriété datant d’avant juillet 1997 de réaliser un diagnostic amiante, notamment avant des travaux ou une vente. Ce contrôle doit être confié à un professionnel certifié, apte à repérer les matériaux à risque et évaluer leur état. En cas de présence d’amiante, différentes mesures peuvent être décidées : surveillance des matériaux, travaux de retrait ou de confinement. Agir pour la sécurité de la copropriété Pour garantir la sécurité des résidents, il est essentiel de ne pas entreprendre de travaux sans information préalable sur la présence d’amiante. Seul un diagnostic permet de déterminer les risques réels. Les habitants, comme les membres du conseil syndical, ont tout intérêt à se rapprocher d’experts qualifiés, capables de recommander les interventions appropriées. Pourquoi faire appel à un expert ? Un accompagnement professionnel assure non seulement la conformité réglementaire, mais aussi une meilleure information des habitants. Le recours à un spécialiste permet d’obtenir un repérage précis, des conseils adaptés aux spécificités de chaque bâtiment, et la mise en place d’actions de prévention efficaces.

Le permis de louer en Provence-Alpes-Côte d’Azur : un outil pour la qualité du logement
24 octobre 2025

Le permis de louer en Provence-Alpes-Côte d’Azur : un outil pour la qualité du logement

Face à la montée de l’habitat indigne et dans le but de protéger les locataires, de nombreuses communes de Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) ont adopté le dispositif du permis de louer. Ce mécanisme permet de contrôler la conformité des logements avant leur mise en location, en s’appuyant sur la loi ALUR, et traduit la volonté locale de s’assurer que seuls des logements décents peuvent être loués. Pourquoi mettre en place le permis de louer ? Beaucoup de propriétaires souhaitent louer rapidement, parfois sans vérifier si leur logement répond aux critères de salubrité, de sécurité et de confort minimum. Grâce au permis de louer, la mairie vérifie le bien au préalable et protège ainsi les locataires contre les risques liés à un logement dégradé ou dangereux. Si le logement ne respecte pas les normes, l’autorisation de louer sera refusée, contraignant le propriétaire à prendre les mesures nécessaires. Procédure et sanctions Le propriétaire doit déposer une demande préalable d’autorisation avant la mise en location. La collectivité procède éventuellement à une visite de contrôle. En cas de non-respect ou d’absence de permis, une amende (jusqu'à 15 000 €) peut être appliquée. Cette démarche protège l’ensemble du parc immobilier locatif et responsabilise les bailleurs. Bénéfices pour tous Protection des occupants : seuls les logements sains sont loués. Valorisation des biens : un logement contrôlé prend de la valeur. Responsabilisation des bailleurs : obligation de remettre en état un bien dégradé avant de louer. Communes concernées par le permis de louer en Provence-Alpes-Côte d’Azur Alpes-de-Haute-Provence (04) Manosque Alpes-Maritimes (06) Cabris Grasse Villeneuve-Loubet Bouches-du-Rhône (13) Aix-en-Provence Arles Aubagne Auriol Barbentane Cabannes Châteaurenard Ciotat Gardanne Istres Marignane Marseille Martigues Orgon Port-de-Bouc Rognonas Septèmes-les-Vallons Tarascon Var (83) Brignoles Draguignan Lorgues Muy Salernes Seyne-sur-Mer Vidauban Vaucluse (84) Caderousse Carpentras Cavaillon Isle-sur-la-Sorgue Orange Pertuis Tour-d’Aigues Pour toute location dans ces communes, le permis de louer est obligatoire : renseignez-vous auprès de votre mairie pour le respecter !

Tout savoir sur la réforme du DPE prévue pour 2026
24 septembre 2025

Tout savoir sur la réforme du DPE prévue pour 2026

En quoi consiste l’évolution du DPE en 2026 ? Le diagnostic de performance énergétique (DPE) occupe une place centrale dans la politique énergétique du secteur immobilier. À partir de 2026, une révision majeure va modifier ses modalités de calcul, impactant de nombreux logements en France. Cette transformation vise à rendre le classement des logements plus équitable et représentatif de leur consommation réelle d'énergie. Quels sont les changements majeurs à venir ? L’une des principales nouveautés réside dans l’ajustement de la méthode de calcul dite 3CL, adoptée notamment pour les logements en immeuble collectif. À l'heure actuelle, ces biens bénéficient parfois d’avantages en raison d’hypothèses de consommation minimales appliquées à l’ensemble des logements d’un même immeuble. Dès 2026, l’estimation prendra davantage en compte la situation individuelle de chaque logement, réduisant ainsi les écarts entre appartements et maisons individuelles. Autre évolution notable : le nouveau DPE intégrera mieux les spécificités climatiques et les particularités régionales. Les logements situés en montagne ou dans des zones où le climat est rigoureux devraient être reclassés plus justement, ce qui amènera probablement de nombreux propriétaires à constater un changement de lettre sur leur étiquette énergie. Quel impact pour les propriétaires et locataires ? Cette réforme n’est pas anodine pour les ménages. Une nouvelle classification pourrait permettre à certains logements, jusque-là considérés comme “passoires thermiques” (étiquettes F ou G), d’obtenir un meilleur classement, les excluant ainsi de potentielles interdictions de mise en location prévues par la réglementation. À l’inverse, d’autres biens pourront reculer dans le classement et devoir réaliser des travaux de rénovation énergétique pour continuer à être loués. Selon les estimations, un nombre important de logements actuellement classés F ou G pourraient bénéficier d’une meilleure note après 2026. Les propriétaires bailleurs doivent donc anticiper ce changement et se tenir informés pour savoir s’ils devront envisager des travaux d’amélioration thermique. Comment anticiper la nouvelle étiquette énergétique ? Se préparer à l’arrivée du nouveau DPE est conseillé pour tout propriétaire souhaitant vendre ou louer son bien dans les années à venir. Plusieurs simulateurs en ligne permettent dès aujourd’hui de réaliser une estimation de la future étiquette énergétique de son logement, en prenant en compte les principales évolutions du calcul à venir. Une analyse précise peut ainsi aider à anticiper la nécessité de travaux ou à valoriser un bien auprès des futurs acquéreurs ou locataires. Pourquoi cette réforme du DPE est-elle nécessaire ? L’objectif de cette refonte est d’harmoniser et de fiabiliser le classement énergétique des logements en France. En réduisant les biais liés aux systèmes de chauffage collectifs et en tenant compte des réalités climatiques, la réforme du DPE 2026 permettra également de soutenir la transition vers un parc immobilier moins énergivore et plus respectueux de l’environnement. Conclusion Avec l’arrivée prochaine d’un DPE profondément remanié, il devient essentiel de prendre les devants pour comprendre l’impact de la réforme sur son logement. Les propriétaires comme les locataires doivent se tenir informés des évolutions afin d’anticiper au mieux les futures contraintes légales et écologiques. Prendre connaissance de la potentielle nouvelle étiquette énergétique est un premier pas indispensable pour accompagner la transition énergétique du parc immobilier français.